- 著者
-
高木 雅惠
- 出版者
- 日本フランス語フランス文学会
- 雑誌
- フランス文学論集 (ISSN:09136770)
- 巻号頁・発行日
- no.41, pp.13-26, 2006-11-20
<voir> : C'est l'origine de la vision. Comment Prosper Merimee saisit-il cette nuance? En 1840, il a commence des etudes historiques pour preparer les biographies, et cette annee sera un moment de transition dans son histoire personnelle. Les etudes des connaissances sur la vue de Merimee venaient de la scolastique jusqu'a present, car il avait une preference pour <<l'oeil de l'esprit>>. Cependant il avait aussi des connaissances sur l'oeil et l'organe de la vue, sa connaissance de la vue releverait donc de la phenomenologie de 1840. En outre pour l'Histoire, la vision est essentielle. Par consequent, on pourrait elucider les connaissances historiques de Prosper Merimee par le moyen de la vue. En 1830, il acquiert des connaissances sur la vue plus precisement, pendant son sejour en Espagne. Il prend conscience grace a la course de taureaux. Dans le premier chapitre, nous envisageons les connaissances de sa vision par le verbe <voir>, et puis nous regarderons l'environnement de sa vision. Enfin nous etudierons le contexte historique. Dans le deuxieme chapitre, nous confirmerons sa vision en 1830 dans Lettre d'Espagne, Musee de Madrid et Notes d'un voyage. Dans le troisieme chapitre, nous verifierons sa vision en 1840 sur Salon de 1839 et Colomba. A la fin, nous dechiffrerons sa vision en 1840. En 1840, son sens de la vue implique la reversibilite, parce que le sujet du regard et le l'objet du regarde echangent sans cesse leurs perspectives. La signification de sa vision vers 1840 confirme celle de la phenomenologie. La vision de Prosper Merimee nous indique aussi la difficulte de la signification de la vue.