- 著者
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中根 弘之
- 出版者
- 日本哲学会
- 雑誌
- 哲学 (ISSN:03873358)
- 巻号頁・発行日
- vol.2004, no.55, pp.231-242,31, 2004-04-01 (Released:2009-07-23)
Dans La Pensée et le mouvant, Bergson a remarqué qué la précision manquait aux systèmes philosophiques. Car, les systèmes avaient été construits par les concepts, et ses contours étaient si larges qu'ils embrassaient non seulement le réel, mais encore le possible. Bergson exigeait que la philosophie s'applique à notre expérience et procède par l'intuition. L'intuition nous amène au point où notre connaissance coïncide avec la réalité spirituelle. Nous ne pouvons pas substituer le mot à l'intuition, mais c'est bien par le langage que les philosophes nous conduisent à l'intuition. Bergson nous faisait remarquer que «une frange d'image» entourait les idèes plus concrètes de l'intuition. L'image suggère sous la forme de l'expression comparative ou métaphorique ce que les concepts abstraits n'arrivent pas à exprimer. Il faut donc que la suggestion de l'intuition soit vérifiée par les faits de la conscience, quand il s'agit de la précision sur les arguments de la philosophie intuitive. Bergson veut que la philosophie réforme les termes des problèmes dans les divers connaissances et soit examinée exactement par la science positive. Et, par cela, la philosophie, la science aussi, devient de plus en plus précise et certaine.