著者
小原 拓磨
出版者
日本倫理学会
雑誌
倫理学年報 (ISSN:24344699)
巻号頁・発行日
vol.69, pp.219-232, 2020 (Released:2021-05-24)

Cette étude traite de la discussion du « brûle-tout » dans Glas(1974)par Derrida et vise à l’élucider à partir de la discussion sur la loi et la justice par le dernier Derrida. L’argument du « brûle-tout », développé sur la base de la lecture de « l’être-essence de lumière » dans Phénoménologie de l’esprit de Hegel, est un principal dans Glas et difficile à comprendre. Derrida dit que des recherches déconstructives ont eu jusqu’à maintenant et auront aussi dès maintenant une problématique du droit, de la loi et de la justice comme leur lieu le plus propre. Suivant cette déclaration, on peut lire la discussion du « brûle-tout » par analogie avec celle de la loi et de la justice. D’abord, la justice derridienne dénonce la violence au moment de la fondation du système légale. L’établissement de la loi est toujours un coup de force en tant qu’il se fait à un lieu sans aucune loi et exclut « l’autre ». La déconstruction commence vers cet autre, et à cet égard elle est la justice. Ensuite, dans Glas, cet autre est discuté comme le « brûle-tout », celui est la consumation insignifiante qui brûle tout complètement, ne laisse rien et n’accumule pas d’histoire. Quand le sujet comme un pour-soi y apparaît, le sens naît et la philosophie ouvrit. Avec cette fondation de la philosophie, la consommation inutile antérieure serait forclose et enterrée. Derrida dans Glas recherche ce moment, c’est-à-dire l’apparition du sujet comme la fondation de la philosophie. À partir d’un mot du texte hégélien, « Opfer (sacrifice)», Derrida découvert que le brûle-tout de la lumière se sacrifie pour la naissance du sujet. Pour la fondation de la philosophie, l’autre se sacrifie, se donne. Il s’éclaire ainsi que l’argument du « brûle-tout » décrit non seulement la forclusion de l’autre, mais aussi son intervention(donation de soi)dans la naissance de la philosophie.

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