著者
井岡 詩子
出版者
美学会
雑誌
美学 (ISSN:05200962)
巻号頁・発行日
vol.68, no.1, pp.37-48, 2017 (Released:2018-07-01)

L’objectif de l’article consiste à mettre en lumière une fonction des images utilisées par Georges Bataille dans ses essais sur l’érotisme, fonction différente de celle de l’image «informe» trouvée dans la revue Documents. Les Larmes d’Éros est chargé d’ouvrir la conscience à l’identité entre la «petite mort» et la mort définitive et de l’ouvrir à la conscience de soi. L’image érotique servit à leur accomplissement. Il exige de les regarder à travers les «larmes», de les prendre dans sa propre conscience. Selon Bataille, cette prise permet de produire les images érotiques mêmes : celles-ci résultent de la prise de conscience d’une violence ou d’une fièvre de l’érotisme. Ainsi, une telle image peut servir de guide pour ouvrir à la conscience de soi. À la différence de l’image «informe», forme échappant à la fixité, l’image érotique est immobile au sens où elle est une forme faite par soin, claire et déterminée. C’est grâce à ce caractère qu’elle est mise en oeuvre dans les ouvrages de Bataille, notamment d’après-guerre, pour développer la conscience humaine.
著者
筧 菜奈子
出版者
美学会
雑誌
美学 (ISSN:05200962)
巻号頁・発行日
vol.68, no.1, pp.49-60, 2017 (Released:2018-07-01)

This paper analyzes the photographs and films which recorded the creation of Jackson Pollock’s all-over paintings. Hans Namuth was photographer and filmmaker who did them in 1950. There are black-white photographs which show two all-over paintings, and films which show three all-over paintings. Pepe Kermel analyzed these photographs and films, and insisted that there were humanoid and animal figures in all-over paintings (Pepe Kermel, 1998). However, as Kent Minturn pointed out (Kent Minturn, 2001), there is a possibility that Kermel arbitrarily made such figures by graphic software. This paper tries to analyze these photographs and films again. I sorted these by stages, and reconstructed whole canvas. As a result, it became clear that there are humanoid figures and materials at the first layers of No. 27, 1950, No. 29, 1950. Pollock drew strokes on upper layers to cover these figures. Meanwhile, on the red canvas picture which is lost now, Pollock didn’t draw the representational figures, but made each layer by repeating same simple lines from side to side. We can see that Pollock had two methods for making all-over paintings, one with representational figures and one without.