著者
関根 和江
出版者
東京芸術大学
雑誌
東京藝術大学音楽学部紀要 (ISSN:09148787)
巻号頁・発行日
vol.25, pp.81-96, 1999

This report is intended to present the materials and informations collected for the exhibition Dr. Raphael von Koeber and His Time, which was produced in commemoration of the 10th anniversary of the reconstructed Sogakudo, the former concert hall of the Tokyo Ongaku Gakko (Tokyo School of Music). This time, Bibliographies (reports and articles) about Dr. Koeber in periodicals are introduced.
著者
関根 和江
出版者
東京芸術大学
雑誌
東京藝術大学音楽学部紀要 (ISSN:09148787)
巻号頁・発行日
vol.26, pp.67-85, 2000

This report is intended to present the materials and informations collected for the exhibition Dr. Raphael von Koeber and His Time, which was produced in commemoration of the 10th anniversary of the reconstructed Sogakudo, the former conceit hall of the Tokyo Ongaku Gakko (Tokyo School of Music). This time, Bibliographies (reports and articles) about Dr. Koeber in newspapers are introduced.
著者
斎藤 一郎
出版者
東京芸術大学
雑誌
東京藝術大学音楽学部紀要 (ISSN:09148787)
巻号頁・発行日
vol.21, pp.A1-A28, 1995

A Edmont de Goncourt, c'est toujours avec une certaine gratitude qu' Alphonse Daudet parle de Moray, auquel il a servi en quelque sorte de secretaire. Il ≪l'epargne, en estompant la nullite du personnage, mais il le peint comme ayant une qualite: un certain tact de l'humanite, la reconnaissance a premiere vue d'un incapable d'avec un intelligent.≫ Daudet a meme de l'estime, de la sympathie pour cet homme entoure d'un perpetuel concert de critiques et de louanges. En fait, le XIX^e siecle n'avait pas bonne reputation. On le jugeait souvent stupide, cupide, vulgaire, et toute la betise du Second Empire, en particulier, semblait incarnee par Moray. Un jour, le due commande a Daudet ≪une chanson, une cocasserie madecasse dans le genre de bonne negresse aimer bon negre, bonne negresse aimer bon gigot. La chose fabriquee et apportee par celui-ci, dans l'enthousiasme de la premiere audition, on oublie les visiteurs dans l'antichambre. Et voila Daudet, Lepine, le musicien, et Morny lui-meme, avec sa calotte et sous la grande robe de chambre dans laquelle il singeait le Cardinal-Ministre, les voila tous les trois tressautant sur des tabourets, en faisant de grands zim boum, zin badaboun, pendant que les visiteurs se morfondaient.≫ Ce Morny, qui est-ce? Selon les freres Goncourt, ≪le mecene d'Offenbach, le musicien amateur, homme type de l'Empire, frotte et pourri de toutes les corruptions parisiennes, qui representent toutes des decadences sans grandeurs, collectionneur qui brocante des tableaux, ministre dilettante, un des auteurs du Deux-Decembre (du coup d'Etat) et des operettes-bouffes, faisant des affaires de commissaire-priseur et de la musique a jouer chez un bordel, viveur sans gout, cervelle de Paris, etc.≫ Ce portrait n'est pas moins juste que celui qu'a laisse Daudet. Il faut suivre la carriere de cet homme qui, au dire du comte d'Alton-Shee, un de ses amis de jeunesse, ≪sans etre veritablement beau, avait la physionomie fine et bienveillante, de l'elegance, de la distinction et qui, admirablement proportionne, fort adroit a tous les exercices, a obtenu pres des femmes de nombreux et eclatants succes. Instruit pour un mondain, ayant le gout de la paresse et la faculte du travail, une foi absolue en lui-meme, de l'audace, de l'intrepidite, du sang-froid, un jugement sain, de l'esprit, de la gaiete; plus capable de camaraderie que d'amitie, de protection que de devouement; prodigue et avide; plus joueur qu'ambitieux; fidele a un engagement personnel, mais n'obeissant a aucun principe superieur de politique ou d'humanite. Rien ne genait la liberte de ses evolutions. En outre, il possedait certaines qualites princieres, la dissimullation, l'indulgence, le mepris des hommes. Il pratiquait la souverainete du but dans son propre interet...≫ Ce temoignage est celui d'un observateur qui, sans etre ecrivain, ne manque ni de penetration, ni de talent. On a certes voulu minimiser la valeur de ces declarations. Le fils de Morny, notamment, a pretendu que Daudet n'avait regarde que de l'antichambre. Mais ce ne sont pas toujours les proches qui percoivent le mieux la verite d'un personnage, quand bien meme ils laisseraient a son sujet une masse de documents. On remarque chez beaucoup d'historiens, surtout chez ceux qu'influence la pensee marxiste, une tendance a l'incomprehension, au manque de "souplesse": ils traitent Morny comme un personnage louche, se livrant a des commerces interlopes, un individu suspect affectant la franchise. Or, Morny, avec toutes ses faiblesses, qu'il ne faut pas chercher a nier, etait superieur a son entourage, et meme a son temps. Les historiens ont souvent le tort, je crois, de s'attacher aux seuls grands phenomenes de surface, en oubliant, en meprisant les personnages qui leur communiquent autant d'impulsions qu'ils en recoivent. Le plus interessant est dans les personnes, dans les details de leurs actions. ≪L'histoire telle que la font la plupart des historiens, dit Edmond de Goncourt a Rosny aine, c'est de la bouillie pour les chats. Il n'y a d'histoire que celle qui retrace une epoque, et aucune epoque ne peut se retracer sans ses details, ses minuscules details.≫ La vie de Morny, de ce parfait representant du Second Empire, ses idees, ses comportements, avec sa frivolite ou sa puerilite, tout ce qui justement nous interesse, voila qui offre l'image d'une epoque marquee par un vigoureux essor, avant la decadence, bien sur, qui surviendra vers la fin du siecle. ≪Ce qu'on voit de loin dans un edifice, declare Daudet, ce n'est pas sa base solide ou branlante, sa masse architecturale: c'est sa fleche doree et fine, decoupee, ajoutee pour la satisfaction du coup d'oeil. Ce qu'on voyait de l'Empire en France et dans toute l'Europe, c'etait Morny.≫
著者
源中 由記
出版者
東京芸術大学
雑誌
東京藝術大学音楽学部紀要 (ISSN:09148787)
巻号頁・発行日
vol.29, pp.23-35, 2003

本稿の目的はヘンリー・ミラーの『北回帰線』(1934)の描写する芸術家的人物造型にまつわる美学とアイデンティティ主義の分析、その本質論的個人主義が芸術的創造者のアイデンティティの表象においていかなる役割を果たしているのか、小説の主題と形式がいかなる本質論的/個人主義的言説を生産するのかについての考察である。この小説の問題は、その主人公である作家志望の男の芸術的創造性をテクスト上に提示する、という形式および主題における屈折である。モダニズム以降の芸術観において芸術とは新奇かつ独特でなければならず、したがって問題の小説の主人公の芸術的創造性は因襲的なそれとは一線を画すものでなければならない。しかし非因襲的な芸術的創造性を芸術的であるとしてテクスト上に提示することは定義上不可能である。その結果小説は、主人公の人物造型が個性的で独特である、という換喩的な屈折を経由して、この非因襲的芸術性を表象しようとする。そのさい小説は人種主義の修辞をもちい、生物学的な差異として芸術的創造性を表象しようとし、ゆえに美学はアイデンティティ主義に読みかえられる。この類推は(芸術的創造性は生物学的な属性ではないのだから)エピソードのレヴェルで破綻し、問題の小説の(あるいは、あらゆる)美学的基準は欧州芸術の美学的因襲であることが露呈する。この構造は小説におけるわいせつ性の問題においても見られる。さらに、この主人公が小説家の自画像と一般に読解されているという自伝性の問題、さらにはこの小説が小説家の出世作であるという事情がある。小説家にとって、主人公の個人主義的美学の描写に成功することが小説それじたいの美学的価値の確立に成功することでもあるとき、小説家の、主人公の、そして小説それじたいの主題的アイデンティティがかさなり、アイデンティティ主義と美学はかさなることになる。
著者
瀧井 敬子
出版者
東京芸術大学
雑誌
東京藝術大学音楽学部紀要 (ISSN:09148787)
巻号頁・発行日
vol.28, pp.21-45, 2002

Im vorliegenden Aufsatz werden zwei Ubersetzungen des Ogai MORI (fortan Ogai genannt) von Clucks "Orpheus" behandelt, die im Jahre 1914 von einem kleinen Opernverein (Kokumin-Kageki-Kai) in Auftrag gegeben und im darauffolgenden Jahr veroffentlicht wurden, um dann aber aus zwei Grunden nicht auf die Buhne gebracht zu werden: Zum einen wegen des ausgebrochenen ersten Weltkriegs, zum anderen deswegen, weil der Verein, der Ogai mit der Ubersetzungsarbeit beauftragt hatte, sich finanziell keine Auffuhrungen leisten konnte. Ich mochte hier die geschichtichen Details zum damaligen Aufenthaltsort Ogais konkret mit den Materialien, die ich in Leipzig sammeln konnte, aufzeigen, und seine Ansichten uber westliche Musik, insbesondere uber die Oper, analytisch darstellen. 1) Obwohl Ogai als Militararzt sehr beschaftigt war, ubernahm er bereitwillig die Arbeit, weil er schon zu seiner Jugendzeit im Leipziger Opernhaus eine Auffuhrung der Oper "Orpheus" gesehen, also sich mit dieser Reformoper Glucks personlich verbunden gefuhlt hatte, und weil er damit einen Beitrag zur Forderung der Oper in Japan leisten wollte. Im Vorwort seiner Ubersetzung schreibt Ogai, er habe am 21. Juni 1885 das Leipziger Opernhaus besucht, um die Auffuhrung der Oper "Orpheus" zu sehen, wobei Frl. Papier den Orpheus sang, Frl. Martin die Eurydike, und Frl. Metzler-Lowy den Amor. Seine Erinnerung war korrekt. Daβ er gerade an diesem Tag in Leipzig weilte, kann man dem "Almanach der vereinigten Stadt-Theater zu Leipzig. 1. Mai 1885 bis 1. November 1885" entnehmen. Frl. Rosa Papier vom Wiener Hofoperntheater kam diesem "Almanach" zufolge tatsachlich als Gastinterpretin nach Leipzig, um auch die Amneris in "Aida" und die Fides in Meyerbeers "Prophet" zu singen. Frl. Martin aus Hamburg war auch anwesend. In den Ensemble der sogenannten "darstellenden Mitglieder" ist der Name von Frl. Metzler-Lowy zu finden, die an dem Abend, als Ogai anwesend war, die Rolle des Amor sang, und war auβerdem, den Nachrichten der "Leipziger Allgemeinen Musikalischen Zeitung" zufolge, bei Konzerten des Gewandthausorchesters auffallend haufig auftrat. Als Hintergrund-Information fuge ich einen kurzen Uberblick uber das zeitgenossische Musikleben in Leipzig und die Situation der Opernhauser um 1885 hinzu. 2) Ein weiteres Zeugnis legt das Libretto von "Orpheus" ab, das sich Ogai in Leipzig gekauft hatte, um den Inhalt der Oper im voraus zu studieren und auch, um danach seine Eindriicke darin einzutragen. Das Buchlein tragt den Titel: "Orpheus und Eurydice.-Oper in drei Akten von Ritter Chr. G. von Gluck.-Text der Gesange. Offizielle Bearbeitung fur die Leipziger BUhne. Leipzig, Druck von G.Reusche", aber leider fehlt eine Angabe des Ausgabejahres. In dieses Exemplar, das Ogais Familie nach seinem Tod mit allen anderen Buchern aus seinem Nachlaβ der Universitat Tokyo hinterlieβ, trug er zum Beispiel am Anfang des ersten Aktes, zu der Chor-Partie "Wenn in diesen dunkeln Hainen Eurydice, noch dein Schatten um dein odes Grabmal schwebt, ach so hore deinen Gatten..." diese Notiz ein: "Den aus grunen Blattern gebundenen Kranz legt er vor das Grabmal." Er notierte mit Eifer derlei Anmerkungen, weil er als einer der groβen japanischen Aufklarer, die viel von der "Modernisierung" Japans hielten, vermutlich annahm, daβ sie irgendwann zu diesem Zweck nutzbar wurden. Seine weitere Notizen im Libretto werden zuerst in den musikalischen und dramaturgischen Zusammenhang gebracht und dann ausfuhrlich analysiert. 3) Der zweite Anlaβ fur seine Ubersetzung war, daβ der Verein fur nationale Oper (Kokumin-Kageki-Kai), ihn wie oben gesagt damit beauftragte. Dieser Verein, von dem in bisherigen Untersuchungen kaum die Rede war, war erst im Herbst des Vorjahrs gegrundet worden. Er stand unter der Leitung eines jungen Komponisten, Nagayo MOTOORI, der schon vor der Grundung des Vereins Ogai darum gebeten hatte, daβ er dem Verein beratend beistehen und Glucks Reformoper "Orpheus und Eurydike", mit welcher der Verein offentlich debutieren wollte, ins Japanische ubersetzen moge, worin Ogai einwilligte. Aber dies wahrte nur ein Jahr, und die Organisation, der es an finanzieller Unterstutzung mangelte, loste sich wieder auf. 4) Auβer seinem personlichen Erlebnis in Leipzig und dem Ersuchen durch MOTOORIs Verein gab Ogai die Orpheus-Auffuhrung, die im Jahr 1903 im Konzertsaal des Konservatoriums Tokyo (Tokyo Ongaku Gakko) als japanische Urauffuhrung der Oper stattfand, einen weiteren Anlaβ zu seiner Ubersetzung. Aus der Lehrerschaft des Konservatoriums wurde eine Arbeitsgemeinschaft zur japanischen Ubersetzung des Textes gebildet. Man versuchte etwas, was der japanischen Sprache bisher nie widerfahren war: In einem limitierten Tonumfang einen bestimmten Bedeutungsinhalt, der weder weniger noch mehr als diesen Tonraum besetzen darf, auszudrucken. Durch ihre Bemuhungen konnten sie die Schwierigkeiten alien Anfangs etwas abmildern. 5) Folglich war Ogais Ubersetzung keineswegs die erste, und er muB es sehr bedauert haben, daβ er nicht an dem ersten Versuch teilnehmen konnte. Er muβte das Werk zweimal ubersetzen, well er zuerst den "Leipziger Auffuhrungstext", wie er ihn nannte, zugrunde legte, und spater, als sich der Text als unpassend fur die Musik erwies, die Peters-Fassung wahlte. In seiner Ubersetzungsarbeit spiegelt sich die Musikgeschichte des neuzeitlichen Japans wider, indem Ogai seinen Plan, die westliche Oper, die fur ihn die Modernisierung der feudalen Heimat symbolisierte, nach Japan zu importieren, zu fruh verwirklichen wollte, als daβ er zu Lebzeiten noch eine Auffuhrung hatte erleben konnen. In der Generation des Ogai, Sohn eines Samurai-Arztes, war es noch unmoglich, in seinem Heimatland Opern zur Auffuhrung zu bringen, weil dies sehr viel mehr Aufwand erforderte als man geglaubt hatte.
著者
成田 英明
出版者
東京芸術大学
雑誌
東京藝術大学音楽学部紀要 (ISSN:09148787)
巻号頁・発行日
vol.24, pp.47-67, 1998

At the beginning of Hamlet, those who were looking into the darkness on the platform of the castle at Elsinore disclosed that the real darkness is in their own country. Their nominal watch against young Fortinbras revealed their country's inner rotten darkness through the revelation of the late King's ghost. Young Hamlet was also brooding darkness at the bottom of his bosom. Neither his mother's too quick remarriage nor his lack of advancement could have been the real cause of his melancholy. He tried to give shape to this darkness within himself that went beyond his own understanding. Though T. S. Eliot abandoned to find 'the objective correlative' to Hamlet's melancholy, he felt acutely that something lied undetected at the bottom of his heart. Eliot was right but unable to find it, concluding the play to be a failure. Other scholars and critics haven't even attempted to reach Hamlet's deepest bosom. In this thesis I have given an answer to Eliot's irritation, studying Hamlet's melancholy from a historical perspective. Hamlet was ordered to take revenge by his father's ghost in order to cleanse the rotten Denmark. He looked up to his father as Hyperion, Jupiter, Mars, Mercury, and Hercules. When he was ordered to take revenge, however, Hamlet was forced to play the role of Hercules in place of his father to cleanse Denmark, which was the Augean stables, after a 30 years' absence, the years symbolically corresponding to his age. He realized himself to be the slave of passion, which suggested he had Herculean madness that would destroy everything including even those whom he loved most. The problem of delay can be solved from this point of view. There is no delay except in Hamlet's mind. Only he felt himself to be a coward. The reason why he felt so is obvious: he couldn't make up his mind to devote his life to revenge. The third soliloquy expresses his agony. 'To be, or not to be' can be read as 'to live as a coward without revenging, or to die honorably in revenge.' No other than Claudius realized the dangerous something which Hamlet's melancholy state of mind was generating. He felt that Herculean 'madness in great ones' would destroy everything. Now the deepest problem in Hamlet's melancholy has been solved here.
著者
成田 英明
出版者
東京芸術大学
雑誌
東京藝術大学音楽学部紀要 (ISSN:09148787)
巻号頁・発行日
vol.25, pp.A21-A38, 1999

The Play Hamlet is a story of a quite impressive prince as well as a history played by the symbolic characters of three sons who had their fathers killed, a king, a queen, courtiers, and a daughter. Though it follows the hero's inner self closely, the play has a structure which relativizes his existence in comparison to the outer world. It is a tragedy as well as a revenge play. The reason why it is considered Shakespeare's "tragedy of tragedies" is that it is the only one in which the protagonist is forced to bear the result of the deeds which do not involve him. While the tragedy of King Lear comes from nothing other than Lear's own stupidity, the audience focuses its attention on Lear's agonies. The tragedy of Hamllet, however, comes from such an incredible role given to an individual by history causing the audience to turn its attention to the outer world surrounding Hamlet. The story goes back to the time when Prince Hamlet was born. The audience meets the three sons in the same circumstance 30 years later. The one son plays the role of a fool who reacts hastily upon his father's death. The second is caught in a dilemma between two worlds: that of the kingdom and that of the individual. The last one is watching Denmark for a chance to take revenge. The eyes of the last son Fortinbras exist in this drama from the beginning, which relativizes the existence of the protagonist Hamlet. At the end of the play, Fortinbras regains more than his father lost and the tragedy appears to have finished. However, the real fear is hidden in the sensation that the wheel of history might begin turning again around 'a little patch of ground' in Poland. Young Fortinbras might be the second King Hamlet. Hamlet is a special work in the genealogy of melancholy in that the protagonist has every feature of melancholy that is not on the surface but rooted in his deep existence. He embodies all the history of melancholy since the ancient Greek through Middle Ages to the Renaissance. Acedia, agony of love, malcontentedness, deep contemplation, genius foresight, and the sudden appearance of Herculean madness are all syndromes of melancholy. A solely new melancholy hero was born from this meeting of an old history and a traditional idea. By transferring old fake madness played in revenge tragedies into deep inner melancholy, Shakespeare produced a quite new tragic hero who can contemplate on universal life and death. A prince in a kingdom has been raised to a hero in the universe through melancholy. Hamlet is the symbolic work of late Renaissance in Britain and reflects the actual fear in the society of the late Elizabethan Age through the death of the prince and the change of monarchy. Through the melancholy hero, the Elizabethan audience must have seen the tragedy not as a distant old history but as their own contemporary history.
著者
舩山 隆
出版者
東京芸術大学
雑誌
東京藝術大学音楽学部紀要 (ISSN:09148787)
巻号頁・発行日
vol.28, pp.47-63, 2002

本稿の執筆の直接的な契機になったのは、武満徹の死後、筆者のこの作曲家に関連した二つの仕事からである。一つは、パリ日本文化会館で開かれた音楽祭「武満徹-響きの海へ」(1997年10月1日〜10月14日)の企画構成、もう一つは、『武満徹著作集』全5巻(新潮社、2000年7月)の共同編集の仕事である。本稿は、前者の音楽祭での武満に関するレクチャーの原稿を全面的に加筆訂正したものである。本稿は、以下の4節、1)武満の歩んだ道、2)「響きの海」の思想、3)武満の歌、4)ワーク・イン・プログレスから成っている。武満は、矛盾に満ちた作曲家であり、初期の習作期から晩年に至るまで激しい様式転換を繰り返し、無調時代の作品と不確定性の思想と晩年の豊かな旋律を持つ調性音楽は、互いに相容れない性格を持っている。さらに、そのおびただしい数の「言葉の杖」と称した文章にも撞着が散見される。しかし本稿では、作曲家自身の言説を厳密に再検討し、作品の意味を再考するために、「響きの海」「歌」「ワーク・イン・プログレス」などの一定の詩学的・美学的視点を定め、この作曲家の音楽思想と音楽作品の本質を明らかにしようとした。武満の出世作は1957年の≪弦楽のためのレクイエム≫であるが、そこで提出される「音の河」という思想は、それ以前に執筆されたエッセイに見られる「沈黙」や「歌」や「アメーバー」を発展させたものである。そしてそれは1960年代のミュージック・コンクレートの≪水の曲≫に続き、さらに1970年の≪ウオーター・ウェイズ≫をはじめとする、一連の「水の風景」の音楽に引き継がれていく。そして同じ音楽思想が、ジェームズ・ジョイスの『フィネガンズ・ウェイク』三部作、つまり1980年代の、ヴァイオリンとオーケストラのための≪遠い呼び声の彼方へ!≫、弦楽四重奏のための≪ア・ウェイ・ア・ローン≫、ピアノとオーケストラのための≪リヴァラン≫で、豊かな河と水のイメージの「響きの海」を作り出す。武満は音楽を個別的で閉ざされた固定した「作品」としてではなく、音楽を絶えず相対的で動的な「状態」、すなわち「ワーク・イン・プログレス」として捉え、完結と未完結のあいだを往復していたのである。武満と同時代の音楽、絵画、文学等との関連についても、このような視点から言及した。