著者
森原 隆
出版者
史学研究会 (京都大学文学部内)
雑誌
史林 (ISSN:03869369)
巻号頁・発行日
vol.65, no.1, pp.p41-74, 1982-01

個人情報保護のため削除部分ありフランス思想史上において、一般に「フィロゾーフ」という呼称は、啓蒙時代の思想家達を示唆する言葉として知られている。ディドロ、ダランベール、ヴォルテール、ルソーなどの思想家を頂点とした当代の知識人の一典型がフィロゾーフである。本稿はフィロゾーフを啓蒙時代盛期の代表的な人間類型として捉え、一、フィロゾーフという名辞の歴史的変遷、二、フィロゾーフの目指す理想像、三、社会におけるフィロゾーフ像、四、その後の展開と変容、の四つの視角から十八世紀フランスにおけるフィロゾーフ像の分析を試みた。そして、フィロゾーフは「百科全書派」に局限される狭い範疇の呼称ではなく、一種のブームを惹き起こすほど広汎な流布をみる人間類型になりえたことを再確認してゆきたい。Dans l'histoire de la pensée francaise, les penseurs du siècle des Lumières sont en général connus sous le nom de philosophes. Le type de l'érudit de cette époque fut justement le philosophe. Diderot, D'Alem-bert, Voltaire et Rousseau en constituaient l'élite. Dans cette étude, j'ai tenté de saisir le philosophe en tant que type humain, représentatif de l'apogée du siècle des Lumières. J'ai essayé d'analyser l'image du philosophe francais du 18èma siècle selon les quatre points suivants : 1) L'appellation de philosophe et ses transformations à travers l'histoire. 2) L'idéal que les philosophes ont pursuit. 3) L'image du philosophe dans la société. 4) L'évolution et le changement de cette image dans la période consécutive J'ai voulu prouver à nouveau que les philosophes ne sont pas seulement ce que l'on appelle des encyclopédistes, et qu'ils ont pu devenir cetype humain, si connu, dans la mesure où ils ont été très en vogue dès leur époque.
著者
江川 温
出版者
史学研究会 (京都大学文学部内)
雑誌
史林 (ISSN:03869369)
巻号頁・発行日
vol.62, no.1, pp.p47-71, 1979-01

個人情報保護のため削除部分あり十世紀末から十二世紀にかけて西欧に展開したいわゆる「神の平和」運動については、教会史、法制史、社会経済史等の諸側面からさまざまの研究がなされてきた。特に多くの研究が、この運動が王侯による権力集中になした寄与を指摘している。本稿は十二世紀におけるフランス・カペー王権の発展とこの運動との関係を検討する。従来の研究はかかる主題を扱う場合、ラントフリーデ立法によるこの運動の継受という法制史的視角に偏しがちであったが、そうした視角は十二世紀カぺー王権を問題とする場合は不適当である。本稿では王権による、カペー家領邦の平定から王国全体への封建的宗主権の主張という歩みの中で、この運動と王権との関係を検討する。そこから次のような結論が得られる。「神の平和」運動の王権による継受は「平和のために戦う王」という王政イデオロギーを強化し、それが国王によるカペー家領邦平定活動と封建的宗主権の主張を支え、ひいては封建王政の確立に寄与した。Il y a plusieurs études qui analisent la succession du mouvement de la paix par les pouvoirs des princes territoriaux; mais beaucoup d'entre elles s'inclinent à la vision très juridique. Cette étude vise à interpréter la relation politique entre ce mouvement et la monarchie capétienne du XIIe siècle. Louis VI, qui avait montré de la bienveillance au mouvement de la paix avant son avènement, a promulgué le pactum pacis, dans l'intention de manifester que la royauté en était partisan. Et, sous l'influence du mouvement des associations diocésaines, il a fait organiser, par des évêques, les communitates des diocésains, qui ont symbolisé l'idée que l'armée royale était celle de la paix. L'idée que le roi était le guerrier pour la paix rendait grand service dans la subjugation de la principauté capétienne par le roi à la deuxième décade du XIIe siècle. Au reste, le roi, utilisant cette idéologie, cherchait à obtenir des appuis des papes et des évêques quand il querellait des princes territoriaux. L'important, c'est que l' on commençait à identifier l'idée de la paix avec celle de la hiérarchie féodale. Quand Louis VII a promulgué l'édit de Soissons en 1155, le mouvement de la paix a fini par s'absorber dans l'ordre de la monarchie féodale.