著者
松葉 類
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.11, pp.82-98, 2014-12-05

Levinas est connu pour sa pensée sur l'« Autre » au sens éminent, mais il est aussi le penseur qui recherche la liberté du sujet, du « Même », comme les autres philosophes qui lui étaient contemporains. Mais la liberté levinassienne semble de prime abord totalement différente des conceptions de la liberté de ses contemporains, parce qu'elle acquiert fondamentalement un sens seulement en rencontrant l'Autre, c'est-à-dire dans la relation de responsabilité. Affirmant que « l'existance en réalité n'est pas condamnée à la liberté, mais est investie comme liberté. La liberté, nest pas nue. Philosopher, c'est remonter en deçà de la liberté, découvrir l'investiture qui libère la liberté de l'arbitraire. »(TI, 83), Levinas critique le concept sartrienne de la liberté pour esquisser la sienne. Nous allons d'abord considérer la place de son concept de « liberté » dans sa philosophie, en particulier dans Totalité et Infini (1961), puis examiner en trois points sa critique du concept sartrienne de la liberté: premièrement, la liberté sartrienne est l'arbitraire même; deuxièmement, la liberté sartrienne ne suppose pas l'altérité; troisièmement, la rencontre sartrienne avec l'autre est conflictuelle. Par cet examen de la critique levinassienne, nous verrons qu'en réalité, Levinas et Sartre partageaient des problèmes en commun. Nous devrons alors interpréter l'admiration que portait Levinas à Sartre dans Un langage pour nous familier (1980), le texte qui traite de la dernière pensée de Sartre.
著者
藤田 俊輔
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.8, pp.40-58, 2011-11-30

Nach Jaspers' Philosophie ist die Methode der Mitteilung von indirekter Natur. In der Psychologie der Weltanschauungen nannte Jaspers Sokrates, Kant und Kierkegaard als Repräsentanten besagter Methode, und auch er selbst ist ein Vertreter jener indirekten Methode der Mitteilung. Jaspers sieht es als Aufgabe der Philosophie an, sich des eigentlichen Seins zu vergewissern, das sich wegen seines ungegenständlichen Charakters nicht ausdrücken lässt. Die Methode der Mitteilung des eigentlichen Seins ist von elementarer Bedeutung und in eben diesem Kontext tritt das Problem der indirekten Mitteilung auf. In der Philosophie ist Jaspers sich der indirekten Mitteilung methodisch bewusst und vor allem in der Methode der Existenzerhellung kann man diese finden. Nach seiner Aussage ist das Philosophieren aus der möglichen Existenz das Transzendieren, das auch die Methode der Existenzerhellung bestimmt. In dieser Abhandlung möchten wir diese Methode der Existenzerhellung gemäß die indirekte Mitteilung näher beleuchten, indem wir den Charakter des eigentlichen Transzendierens erläutern, das das Hinausgehen über das Gegenständliche ins Ungegenständliche bedeutet. Bei weiterer Überlegung liegt der indirekten Mitteilung das der Existenz eigene absolute Bewußtsein zugrunde, das sich vom Bewußtsein als Erleben und Bewußtsein überhaupt unterscheidet. Denn die indirekte Mitteilung wendet sich nicht an das Bewußtsein als Erleben und das Bewußtsein überhaupt, sondern an das absolute Bewußtsein der Existenz. Durch die Überlegungen bezüglich dieses Bewußtseins versuchen wir, das tiefere Verständnis der indirekten Mitteilung zu ermöglichen. Auf diese Weise nähern wir uns dem Problem der indirekten Mitteilung nach Jaspers' Philosophie und möchten in dieser Abhandlung Jaspers Analyse eingehend untersuchen.
著者
吉野 斉志
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 = THE ANNUAL REPORT ON PHILOSOPHY OF RELIGION
巻号頁・発行日
vol.13, pp.43-58, 2016-12-19

Bergson, dans L'Évolution créatrice, son troisième livre, lorsqu'il propose l'idée selon laquelle « l'univers dure », étend la durée qu'il ne considérait initialement que dans le champ psychologique au domaine de la matière. Pourquoi Bergson en arrive-t-il à une telle idée? Notre travail vise à éclairer la signification et la portée du concept bergsonien de temps cosmologique en deux temps. Nous montrons d'abord que la problématique bergsonienne de l'origine de la « mutabilité » (en terme physique, « néguentropie ») s'approche de celle de la physique moderne, par le moyen d'une comparaison avec Satosi Watanabe, qui, prenant en compte la mécanique quantique, renverse la conclusion de Bergson. Nous examinons ensuite l'idée de « sympathie ». Bergson exprime à travers elle la solidarité de l'univers entier et l'unité du « présent » universel. Le recours bergsonien aux cas de télépathie n'est pas, il est vrai, admis d'un point de vue moderne, mais sa problématique conserve encore une certaine validité, et peut contrer les arguments provenant de la physique moderne qui dénient la réalité du devenir temporel. Pour Bergson, la science et la métaphysique se distinguent par leur objet respectif, la matière et l'esprit. Elles ont donc des problématiques communes en leur « point de contact » qui est le rapport entre l'âme et le corps. Dans ce domaine, la philosophie bergsonienne présente une familiarité avec la science positive et va même jusqu'à la possibilité d'être vérifiée par celle-ci. L'idée de durée cosmologique, paraissant à première vue un grandiose récit spéculatif, se base sur une question et un raisonnement qui ne sont pas loin de ceux de la physique moderne.
著者
山内 翔太
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 = THE ANNUAL REPORT ON PHILOSOPHY OF RELIGION
巻号頁・発行日
vol.13, pp.84-106, 2016-12-19

La présente étude tend à élucider le côté dualiste du spiritualisme de Bergson par rapport à celui de Ravaisson. Ravaisson, prédécesseur de Bergson, il présente le monisme de la Nature naturante. Cette Nature ravaissonienne, c'est la spontanéité. Au delà de la volonté personnelle, elle se manifeste comme « désir irréfléchi » et contracte l'habitude dans l'organisation de la vie. La spontanéité impersonnelle remplace la conscience de l'effort. Au fond, C'est la perfection divine, qui fait agir tout. Soit psychique soit physique, tout émane d'elle, tout revient à elle. Cependant, Bergson n'admet que la spontanéité proprement spirituelle, effort, qui, en se créant, fait face à la résistance de la matière inerte. Diffèrent de Ravaisson, Bergson pense que la matière ne peut s'absorber dans la spontanéité, comme si c'en était en cas du dualisme. Tout se crée par la vie de l'esprit, mais la matière est à la fois obstacle et instrument pour cette création. Ici, pour que l'esprit accomplisse la création dans le monde matériel, il faut l'intermédiaire entre le mental et le corporel, se faisant et tout fait. C'est le schéma, c'est le thème philosophiquement propre à Bergson. Dans la passage de l'esprit à la matière, l'esprit se transforme virtuellement en mouvement extensif en tant qu'« intensité ». L'intensité, c'est le signe spirituel du mouvement. À la fin, nous verrons que, dans la philosophie de Bergson, par effort inépuisable ou intensité de la conscience, les éléments mentaux sont toujours en train de se doubler des mouvements corporels ou physiques. Le monisme bergsonien, c'est toujours le spiritualisme se déchirant en matériel.
著者
松本 直樹
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.6, pp.24-53, 2009-12-22

In seinem bekannten Hauptwerk Die Struktur von iki (「いき」の構造 (Iki no Kōzō)) bemüht sich Kuki Shūzō um eine phänomenologisch-hermeneutische Analyse des ästhetisch-moralischen Konzeptes iki in der japanischen Vormoderne. In diesem Aufsatz versuche ich, indem ich mich auf die Gedanken Heideggers und Aristoteles’ berufe, Kukis Einsicht deutlich zu machen, dass iki, insbesondere die Koketterie (媚態 (bitai)) als zentrales Moment des iki, sich auf den sinnlichen Genuss von Bewegung zurückführen lässt. Auf der Grundlage dieser Einsicht analysiert Kuki konsequent auch die vielen konkreten Ausdrücke des iki - etwa die Neigung der körperlichen Haltung oder die Längsstreifen als modische Musterung des vormodernen Japans - und zeigt den Kern der Liebesbeziehung auf als sinnliches Miteinander-anwesend-sein durch die Bewegungsempfindung. In diesem Aufsatz versuche ich zudem zu zeigen, dass dieser Kern, als eine uns im Allgemeinen gegebene Möglichkeit des sinnlichen menschlichen Lebens, auch heute oft von uns selbst gelebt wird, wenn auch in einer ganz anderen Form als im iki. Zur Illustraton führe ich eine Szene aus einem japanischen shōjo-Manga (Comic für Mädchen; heute in Japan auch für Jungen und erwachsene Frauen und Männer), nämlich Tanikawa Fumikos Prisma (プリズム (purizumu)), an und lege diese aus als eine sehr geschickte Darstellung eines auf Bewegung gründenden Miteinander-anwesend-seins.
著者
根無 一行
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.10, pp.53-69, 2013-11-29

Comment le sujet se génère-t-il dans l'«il y a»", qui signifie l'«existence sans existant », et comment s'évade-t-il de l'«il y a»" impersonnalisant ? Voilà ce dont discute De l'existence à l'existant (1947), qui est l'oeuvre principale du premier Levinas. On sait bien que Levinas prête attention à « autrui», qu'il considère comme rendant possible cette évasion. Et l'«il y a»" passe à l'arrière-plan quand «autrui» entre en scène. Mais l'«il y a»" est thématisé exceptionnellement dans le chap. 5, 4°d'Autrement qu'être ou au-delà de l'essence (1974), qui est l'oeuvre principale du dernier Levinas. Il y affirme que l'«il y a»" est tout le poids que l'altérité pèse sur le sujet. Cette affirmation semble étrange. Car, ici, Levinas considère l'«il y a»" lui-même comme l'altérité, alors qu'on sait bien qu'il avait trouvé dans la relation avec autrui la voie pour s'évader de l'«il y a»". En expliquant que le point d'appui de Levinas passe du «face-à-face» à la «proximité», et en comparant De l'existence à l'existant à Autrement qu'être, nous montrerons que cette affirmation de Levinas est en fait logiquement nécessaire.
著者
安藤 泰至
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.7, pp.28-42, 2010-12-03

本稿は、ウィリアム・R.ラフルーア氏が2009年2月21日に京都大学で行った講演、‘Peripheralized in America: Hans Jonas as Philosopher and Bioethicist'「アメリカにおける周縁的地位―哲学者および生命倫理学者としてのハンス・ヨナス―」(以下「講演」と略記)において、コメンテータの一人を務めた筆者のコメントを中心に文章化したものである。本号にはラフルーア氏の講演原稿全文が掲載されているので、コメントの対象となった氏の講演内容についての記述、要約は必要最小限にとどめ、筆者が講演当日に用意したメモに基づいて、コメント内容を文章化した。したがって、本稿は当日のコメントそのものの再現ではないが、筆者の提示している論点は基本的に当日のそれと同じである。ただし、バイオエシックス(生命倫理学)の歴史やこの分野でのヨナスの論考に不慣れな読者のために、若干の補足説明を加えた。また、提示した論点の相互関係についての記述には、当日のコメントでは触れなかったが、後になって筆者が気づいた点がいくらか含まれていること、コメントの最後でラフルーア氏に問いかけた問い(現代の生命倫理の議論においてヨナスのような声がどのように生かされうるか)についての筆者自身の考えを、本稿の末尾で述べさせていただいたことをお断りしておく。
著者
鳥越 覚生
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 = THE ANNUAL REPORT ON PHILOSOPHY OF RELIGION (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.15, pp.3-22, 2018-12-13

Ist Schopenhauers Mitleidsethik Dekadenz? Um diese Frage zu thematisieren, ist es meiner Meinung nach effektiv sein, sein Konzept der „Person seit Kant" in Betracht zu ziehen. Kant versteht unter „Person" eine Grundlage der Dignität der Menschen und des Moralprinzips. Dabei setzt er die Achtung der Liebe vor: „Achtung geht jederzeit nur auf Personen, niemals auf Sachen. Die Letztere können Liebe, niemals aber Achtung in uns erwecken." Im Gegenteil akzeptiert Schopenhauer nicht Kants Personbegriff und Moralprinzip a priori. Stattdessen hält er schließlich das Mitleiden(Liebe) an alles Dasein für die Grundlage der Moral. Besonders auffallend ist es, dass Schopenhauers Liebe nur nach Leiden und Unglück des Daseins richtet. Deswegen behauptet er: „Unglück ist die Bedingung des Mitleids und Mitleid die Quelle der Menschenliebe." Es gibt Schopenhauer zufolge keine moralische Tat, welche durch Pflicht oder Verantwortung motiviert wird. Man mag eine solche Lehre als tatenlos, mußig, pessimistisch usw. tadeln wie Arbert Schweizer. In Schopenhauers „Wille zum Leben" durchschaute Schweizer aber „die Ehrfurcht vor dem Leben". Er stimmte S chopenhauer bei, solange der letztere klar macht, dass sich Liebe in der pessimistischen Welt nicht vernichtetn lässt, sondern die wahre Liebe aus Leiden und Unglück entspringt. Mit Schweizer kann man schließich bestätigen, dass Schopehauers Moraltheorie der Liebe einerseits den Verfall der Moral in sich enthält, anderseits aber auch einen Anlaß geben kann, die Dekadenz der Moral zu überwinden.
著者
鳥越 覚生
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 = THE ANNUAL REPORT ON PHILOSOPHY OF RELIGION (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.14, pp.58-77, 2017-12-28

Die Form und Farbe definieren sich Arthur Schopenhauer zufolge ein Medium, durch das man die Ideen anschauen kann. Wie kann man aber seine Lehre vom Medium verstehen, das er als die bloße Vorstellung(Erscheinung) charakterisiert? Um diese Frage zu beantworten, versucht dieser Aufsatz, seinen Begriff der „edlen Sinne(besonders Gesicht)" mit Helgels Konzept der „ideellen Sinne" zu vergleichen. Wie z.B. Nicolai Hartmann in „seiner Philosophie des deutschen Idealismus" analysierte, hätte Hegel den traditionellen Begriff vom Schönen wesentlich verändert. An sich genommen sollte die Idee vom Schönen schöner als ein sinnlich Schönes im daseienden Objekt. Die Idee als solche sei aber tatsächlich nicht schön. Der Satz, dass das Schöne Idee sei, drückt also Hegel zufolge nur die Härfte der Wahrheit aus. Denn die Idee ist erst „in ihrem Scheinen" schön. So identifizierte Hegel schließlich die ästhetische Idee mit ihrem Schein. Im Gegenteil verzichtet Schopenhauer auf die Überzeugung der ästhetischen Idee selbst. Er betrachtet nämlich das Schöne unter einer Perspektive auf die Konstruktion der Vorstellung(Objekt für Subjekt). Eine solche Einsicht über den Ideenverfall trifft für die nachhegelsche Zeitatmosphäre der Dekadenz und Pessimismus zu. Zusammenfassend kann man sagen, dass Schopenhauers Lehre vom Medium gerade ein typisches Beispiel der Übergangsperiode vom deutschen Idealismus ausmacht.
著者
伊原木 大祐
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 = THE ANNUAL REPORT ON PHILOSOPHY OF RELIGION
巻号頁・発行日
vol.13, pp.3-28, 2016-12-19

La phénoménologie comme conception méthodologique trouve son origine authentique dans le monde grec, comme Heidegger l'a bien montré dans Sein und Zeit. En effet, le terme « phénoménologie » se compose de deux éléments : « phénomène » et « logos » qui remontent à des termes grecs, φαινόμενον et λόγος. La particularité de la phénoménologie française post-levinassien consiste à avoir réussi à permettre d'expliquer même la manifestation du Christ sur le plan non-métaphysique de la philosophie en radicalisant le slogan « Droit aux choses mêmes !» jusqu'à substituer au « phénomène » la révélation, au « logos » le Verbe de Dieu. Dans cette mesure, on pourrait comparer Levinas comme amorce décisive à Philon d'Alexandrie, grand juif hellénisé qui donna lieu à l'introduction d'une compréhension philosophique de la révélation dans le monde judéo-chrétien. La présente étude a pour objectif principal d'analyser la portée philosophique de la « phénoménologie du Christ » en examinant de près la phénoménologie de la Vie selon Michel Henry et la phénoménologie de la donation selon Jean-Luc Marion. Il est vrai que la phénoménologie en tant que philosophie doit s'interdire d'accepter comme allant de soi l'existence du Transcendant, car l'épochè husserlien oblige à mettre « entre parenthèses » ou « hors circuit » toute transcendance réelle, y compris Dieu. Mais, pour Henry et Marion, le Christ n'est plus un étant transcendant, mais plutôt se manifeste comme un phénomène qui ne se donne que dans l'immanence radicale après la réduction. C'est dans cette perspective que nous n'allons pas seulement proposer une direction nouvelle de la christologie philosophique, mais aussi expliciter sur quel point divergent leurs interprétations de l'immanence et de la révélation.
著者
氣多 雅子
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.6, pp.3-23, 2009-12-22

Die Aufgabe dieses Aufsatzes liegt darin, dass ich den Punkt suche, wo das Problem der Verkürzung von Zeit und Raum, das durch die Modernisierung verursacht worden ist, und die religiöse Sache grundsätzlich die Klingen kreuzen. Wenn man die heideggerische Analyse von Zeit und Raum in „Sein und Zeit" und die Studien von A. Giddens im Vergleich betrachtet, könnte man sagen: in der Praemoderne hatte der umsichtliche Raum einen absoluten Vorgang und im Ggegensatz dazu wird in der Moderne der einheitliche Raum allmählich herrschender. Und aus der heideggerischen Einsicht, dass das Dasein eine wesentliche Neigung zu der „Nähe" hat, wird herausgeleitet, dass die Verkürzung von Zeit und Raum aus der Konstruktion des menschlichen Seins entspringt. Darüber hinaus denkt Heidegger im „Einblick in das was ist" (Bremer Vorträge 1949) auf eine andere Weise über die „Nähe" und klärt folgendes auf : gerade die Seinsweisen von Ding und Welt, in denen der Mensch lebendig leben kann, betreffen dasjenige, das durch die Herrschaft der einheitlichen Zeit und des Raumes und die Verkürzung von Zeit und Raum verloren worden ist. Wenn man die Befürchtung zu diesem Verlust im Hintergrund annimmt, ist die Behauptung, dass der umsichtliche Raum des Daseins ursprünglich sei, richtig. Jedoch wird mit der Veränderung der Dingheit des Dings basierend auf einheitlicher Zeit und einheitlichem Raum die Zeit und der Raum, in denen wir alltäglich leben, konstituiert. Demzufolge ist die Ursprünglichkeit des umsichtlichen Raumes relativiert worden. Die Veränderung, dass wir größenteils in der einheitlichen Zeit und dem einheitlichen Raum leben, wird mit den Begriffen „Weltentfremdung" und „Erdentfremdung" von H. Arendt klar sichtbar. Arendt zufolge kommen im Prozess dieser Entfremdungen in der Moderne „Menschheit" und „Erde" als objektive Dinge, die Realität besitzen, vor. Nach meinem Verständnis zeigen diese Menschheit und Erde in einer untrennbaren Art und Weise die Ganzheit der von den Menschen erschaffenen Dingwelt und die Ganzheit der Tätigkeit der Menschen, die sie (die Ganzheit der Dingwelt) erschaffen haben. Dass sie (die Menschheit und die Erde) reale Objekte geworden sind, besagt, dass die Menschheit und die Erde selbst zurückkehrend in die Tätigkeit der Welterschaffung des Menschen eingenommen und wieder empfangen werden. Der Mensch hat den Archimedischen Punkt tief verinnerlicht und ist dazu gekommen, von dem universalen menschheitlichen Standpunkt aus zu denken und zu handeln. Von diesem Standpunkt her gesehen, ist der umsichtliche Raum des Daseins Subjektiv egozentrisch und er ist nur derjenige (Raum), der überwunden werden soll. Das, worauf Arendt mit dem Begriff Erdentfremdung hinweist, ist, dass es eine Schwierigkeit für den Menschen ist, die schon so weit verkürzte Zeit und den schon so weit verkürzten Raum und die schon so weit veränderte Dingheit des Dings zu überstehen. Die Schwierigkeit belastet jeden einzelnen Menschen als reale Mühsal. Und die „Ursprünglichkeit" des umsichtlichen Raumes des Daseins hat den nicht wandelbaren Sinn, um diese Mühsal als Mühsal zu erkennen. Und gerade die Rettung aus dieser Mühsal soll nichts anderes als die größte religiöse Aufgabe der Gegenwart sein.
著者
大坪 哲也
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.11, pp.41-61, 2014-12-05

Denne artikel har til hensigt at drøfte metoden for tekstfortolkning ved overvejelse af klassificeringen af videnskaberne i indledningen af Begrebet Angest. Pseudonym forfatteren, V. Haufniensis klassificerer forskellige områder af videnskab så som dogmatiken, psykologi og etik. Han starter med en diskussion om psykologi og foreslår en "anden etik" til at forklare friheden til at angre ved synd. Forordet fra Begrebet Angest er således forbundet med den "Existentiele-Videnskab" udarbejdet i samlingen af efterladte Papirer, Pap. IV C 100. Kierkegaard indfører derefter begrebet inter-esse som at være i mellem at være og at tænke. Det er i områder, der er af interesse for Tilværelsen(dasein), og psykologien betragter Angest for det at mægle i spørgsmålet om synd og frihed. Psykologien er indført som en ny videnskab for at fjerne konflikten om etik og dogmatiken. Derfor overvinder vi disse konflikter, der er domineret af traditionel metafysik, ved indførelsen af psykologi og bliver istand til at forklare vanskelighederne ved frihed relateret i angren af synd. Denne tilgang er en forudsætning for at kunne fortolke teksten Begrebet Angest, som har til formål at kombinere forholdet mellem frihed og synd. Denne artikel afslører, at den akademiske konflikt, der er mål for frihed og synd, er elimineret af psykologien, som er blevet indført af den Existentiele Videnskab.
著者
根無 一行
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.10, pp.53-69, 2013-11-29

Comment le sujet se génère-t-il dans l'«il y a»", qui signifie l'«existence sans existant », et comment s'évade-t-il de l'«il y a»" impersonnalisant ? Voilà ce dont discute De l'existence à l'existant (1947), qui est l'oeuvre principale du premier Levinas. On sait bien que Levinas prête attention à « autrui», qu'il considère comme rendant possible cette évasion. Et l'«il y a»" passe à l'arrière-plan quand «autrui» entre en scène. Mais l'«il y a»" est thématisé exceptionnellement dans le chap. 5, 4°d'Autrement qu'être ou au-delà de l'essence (1974), qui est l'oeuvre principale du dernier Levinas. Il y affirme que l'«il y a»" est tout le poids que l'altérité pèse sur le sujet. Cette affirmation semble étrange. Car, ici, Levinas considère l'«il y a»" lui-même comme l'altérité, alors qu'on sait bien qu'il avait trouvé dans la relation avec autrui la voie pour s'évader de l'«il y a»". En expliquant que le point d'appui de Levinas passe du «face-à-face» à la «proximité», et en comparant De l'existence à l'existant à Autrement qu'être, nous montrerons que cette affirmation de Levinas est en fait logiquement nécessaire.
著者
山根 秀介
出版者
京都大学文学研究科宗教学専修
雑誌
宗教学研究室紀要 (ISSN:18801900)
巻号頁・発行日
vol.10, pp.127-148, 2013-11-29

Dans la longue histoire de la philosophie occidentale depuis la Grèce antique, de nombreux philosophes ont discuté sur le problème complexe de l'un et du multiple. Ce problème concerne l'ontologie, c'est-à-dire la philosophie première, et est un des problèmes les plus importants pour le historien de la philosophie. Cette étude vise à saisir la «durée» bergsonienne dans "Essai sur les données immédiates de la conscience" sous l'angle de l'un et du multiple, et à définir leurs rôles et leur relation réciproque. L'«unité» nous servira alors de notion-clef. La durée bergsonienne est une unité qui forme sa propre totalité, et elle est en même temps constituée d'unités qui sont ses propres éléments. L'un et le multiple que Bergson considère comme réels et propres à notre durée sont inséparables, ils sont les deux côtés de la même pièce. Ainsi on ne peut traiter un seul des deux moments de la durée, et on ne peut donc pas considérer la théorie de la durée soit comme un monisme soit comme un pluralisme. Les multiples de la durée sont en eux-mêmes indivisibles et hétérogènes. Les unités changent sans cesse et font partie de la durée entière, en même temps qu'elles composent, en se pénétrant, la durée entière, qui est elle-même une unité et qui évolue elle aussi perpétuellement.