- 著者
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白井 秀和
- 出版者
- 一般社団法人 日本建築学会
- 雑誌
- 日本建築学会論文報告集 (ISSN:03871185)
- 巻号頁・発行日
- vol.333, pp.137-143, 1983-11-30 (Released:2017-08-22)
Le terme de bienseance employe en tant que traduction en francais de decor de Vitruve a deja ete un des principes celebres dans les theories theatrales au 17^e siecle en France. Ce concept qu'on peut appeler la loi habituelle en architecture est le reflet de la societe de la cour en France, et on pourrait dire que la parfaite correspondance entre la structure des maisons particulieres et celle de la societe de la cour, que ce concept exprime bien, est une des empreintes du classicisme francais. Des la premiere moitie du 18^e siecle, au lieu de terme de bienseance, celui de convenance est paru. C'est-adire, ces deux mots qui doivent exprimer a peu pres le meme concept issu du ancien terme decor ou decorum, etaient bien employes a l'age classique. D'abord, a l'epoque de Louis XIV, on se servait du mot de bienseance generalement, et des le commencement du 18^e siecle, graduellement, le mot de convenance en etait venu a etre employe preferablement. Historiquement, J.-L. de Cordemoy et M.-A. Laugier ont traite de la bienseance en architecture ou a l'art de batir. Parallerement a eux, M. de Fremin et J.-F. Blondel ont traite de la convenance en architecture. Surtout, Blondel a expose beaucoup de traites sur la convenance dans ses nombreux ouvrages. Ainsi, ces deux concepts sont conduits a la theorie de caractere, qui etait l'element tres important chez les theoriciens dans la seconde moitie du 18^e siecle. Enfin, la bienseance et la convenance sont les signes de la societe de la cour en France, c'est-a-dire, l'esprit francais a l'age classique.